SaaS et collectivités : réduire les coûts sans sacrifier la productivité 

publié le 2 octobre

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En 2025, les collectivités territoriales ont composé avec de plus en plus de contraintes budgétaires. Chaque décision a été arbitrée avec soin, dans un contexte où les ressources publiques sont sous tension. Pourtant, la modernisation des services et la continuité des missions restent des priorités incontournables. Comment concilier rigueur financière et efficacité opérationnelle ? C’est là que le modèle Software as a Service (SaaS) apporte une réponse structurante, en associant planification et performance.

 

Des coûts maîtrisés et prévisibles

Le premier atout du SaaS est économique. Contrairement aux solutions dites “on-premises”, qui impliquent l’achat de serveurs, de licences logicielles et la mobilisation de ressources spécialisées pour les administrer, le SaaS repose sur un principe simple : un abonnement tout compris. Hébergement, maintenance et mises à jour sont inclus dans une formule claire et lisible. Cette approche transforme radicalement la gestion financière : les collectivités gagnent une maîtrise accrue de leurs dépenses, avec des charges régulières et anticipées plutôt que des investissements lourds et ponctuels.

Des bénéfices opérationnels pour les équipes

En plus d’augmenter la visibilité sur les postes de dépense, le SaaS garantit une expérience d’utilisation fluide et fiable. En confiant l’hébergement et la maintenance technique à un éditeur, comme Sogelink, les équipes informatiques gagnent du temps sur les tâches d’administration et de surveillance des systèmes. Les interventions sont ainsi transparentes, les maintenances et mises à jour des applications étant réalisées automatiquement, sans action des collectivités. Cette continuité s’accompagne de mécanismes de sécurisation intégrés : sauvegardes automatiques, redondance des données et disponibilité renforcée. Les collectivités disposent donc d’un environnement stable qui soutient leurs missions.

Conçu pour s’inscrire dans un écosystème plus large, le SaaS s’interconnecte facilement avec d’autres systèmes en place. Exemple parfait avec l’API Actes : proposée par Sogelink, elle permet aux clients Littéralis de requêter leurs actes et métadonnées directement depuis l’application, pour les stocker automatiquement dans leur outil de gestion électronique des documents (GED). La mise à disposition simplifiée de la donnée constitue ainsi une garantie essentielle : intégrée dès la conception des solutions SaaS, elle permet aux collectivités de conserver la maîtrise de leurs données et de les récupérer intégralement à tout moment.

La combinaison d’une meilleure maîtrise budgétaire et d’une efficacité accrue explique l’essor rapide du SaaS. Ce modèle n’est plus perçu comme une alternative, mais comme une norme qui s’impose progressivement. Les chiffres Sogelink en témoignent : 100 % des clients Littéralis Essentiel, Essentiel+ et Standard utilisent la version SaaS de l’outil, tandis que près de 60 % des clients Expert ont déjà choisi d’être hébergés chez Sogelink.

Comprendre les modèles

Formules de souscription :

  • Abonnement : paiement annuel incluant l’accès au logiciel, l’hébergement, la maintenance et les mises à jour.
  • Licence : droit d’utilisation du logiciel, souvent proposé avec un devis pour l’hébergement et la maintenance.

Solutions d’hébergement :

  • Hébergement chez l’éditeur : le logiciel et les données sont stockés sur les serveurs de l’éditeur.
  • On-premise : le logiciel est installé et hébergé directement sur les serveurs de la collectivité.